Dans un halo de lumière, comme flottant dans l’air, je l’ai vu soudainement, souriant et très heureux de me dire qu’il était là. Enfin libéré de son corps meurtri.

Ce fut un instant furtif, qui parti aussi vite qu’il était apparu.

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   Je me confia immédiatement à mes parents, dans la voiture qui nous emmenaient à vive allure À l’hôpital voir mon grand père .

  Ma mère me réprimanda vivement, et de façon explicite me signifia qu’il fallait cesser de dire N’importe quoi.

J’avais 4 ans... ils sont toujours avec moi, souvent pour réconforter leur proches.

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 De temps en temps pour me demander de l’aide, un passage ou se confier sur leurs vies Passées.

J’ignore pourquoi ils m’ont choisi pour ce don, j’essaie de l’utiliser afin d aider et de soulagés nos Vies complexes et souvent difficiles à comprendre.